Mercredi 26 juillet 2023 – 21h00

SAINT-GÉNIS-DES-FONTAINES, Cloître Saint Michel

Tarif : 15€ / 7.5 €

Billetteries

Duo Alain Jean-Marie & Diego Imbert

« Interplay » – the Music of Bill EVANS

  • Alain JEAN-MARIE, piano
  • Diego IMBERT, contrebasse

Trois monstres sacrés pour un Duo !

‘Un album magnifique, lumineux et ‘indispensable’! – Paris Move & Blues Magazine

 « Alain & Diego ressuscitent la magie alchimique de Bill Evans & Eddie Gomez: ‘iis s’emparent d’une histoire et écrivent à partir d’elle une page intense et magnifique de cette musique’ »- Jazznews.

‘Ils s’en sortent à merveille, avec prises de risques et goût de l’aventure, car ils restent avant tout eux-mêmes en n’étant jamais dans l’imitation : CHOC – Jazz Magazine –

 

Prix de l’album Jazz de l’année 2020 par l’Académie du Jazz

Victoire d’honneur par les Victoires du Jazz 2021

 

Alain Jean-Marie et Diego Imbert ressuscitent la magique alchimie de Bill Evans & Eddie Gomez…

« Si l’harmonie est quelque chose comme le corps, la mélodie doit en être l’âme. »

Vladimir JANKELEVITCH

 

ALAIN JEAN-MARIE 

Élégant pianiste aux multiples récompenses internationales, Alain Jean-Marie possède la subtilité harmonique, l’assise rythmique, l’amour de la phrase mélodique et le sens du toucher qui sont la marque des grands pianistes, et le distinguent à l’évidence comme un des solistes majeurs de la scène européenne.

D’origine guadeloupéenne, autodidacte, Alain Jean-Marie a commencé à jouer des biguines, rendant un superbe hommage à sa culture par plusieurs « Biguine Reflections » avant de former  son Tropical Jazz Trio.

Mais très vite, il a joué avec une liste sans fin de légendes du jazz: Chet Baker, Lee Konitz, Abbey Lincoln, Art Farmer, Max Roach, Sonny Stitt, Barney Wilen, Christian Escoudé, Dee dee Bridgewater, Henri Texier, Aldo Romano, Sarah Lazarus …

 

DIEGO IMBERT

Diego IMBERT a côtoyé Dider Lockwood comme Biréli lagrène avec lequel il s’est plongé dans le jazz manouche.

Il a enregistré « 7000 Miles » avec David Linx et formé un quartet avec Alex Tassel et David El Malek.

Il a aussi participé à un trio avec Enrico Pieranunzi et André Ceccarelli, compagnons avec lesquels il a notamment enregistré un « Tribute to Charlie Haden »…

Diego Imbert a eu l’idée et l’envie, il y a une dizaine d’années, de ressusciter ce duo, sans jamais chercher bien sûr à le copier, mais en explorant librement le répertoire de Bill Evans. Le contrebassiste avait toujours en mémoire le souvenir vif de son stage à Capbreton à la fin des années 90 avec Eddie Gomez qui fut pendant plus de dix ans (1966-1978) le fidèle maître des élégances fondamentales au côté du pianiste.

LE DUO 

La formule du duo piano/contrebasse est l’une des plus ouvertes, donc des plus risquées du jazz. Tout peut y arriver, sans prévenir, le pire comme le meilleur. Nul filet pour cet exercice de haute voltige où chacun des deux équilibristes se doit d’être constamment à l’affût, dans l’écoute extrême de l’autre, sans les moindres écarts de présence ou baisse d’attention. La réussite de ce type de duo est rare parce que l’alchimie en est mystérieuse. Elle exige la confiance totale entre les deux partenaires. Du coup elle existe d’emblée ou n’existera jamais.

Cette alchimie exista magiquement dans le duo que Bill Evans et Eddie Gomez réalisent en 1962 « Interplay » et qu’ils expérimentèrent tout au long des années 70. Deux autres disques en sont la preuve : « Intuition » (1974) et « Montreux III » (1975).

Diego Imbert a eu l’idée et l’envie, il y a une dizaine d’années, de ressusciter ce duo, sans jamais chercher bien sûr à le copier, mais en explorant librement le répertoire de Bill Evans. Le contrebassiste avait toujours en mémoire le souvenir vif de son stage à Capbreton à la fin des années 90 avec Eddie Gomez qui fut pendant plus de dix ans (1966-1978) le fidèle maître des élégances fondamentales au côté du pianiste.

Quand Diego Imbert a proposé à Alain Jean-Marie ce projet de duo autour de Bill Evans, le pianiste guadeloupéen, toujours habité par une humilité extrême (c’est un euphémisme), a d’abord hésité à se lancer dans l’aventure. « Pour moi qui viens de la rue, du bal et de la biguine, me confronter à un pianiste doué d’une telle culture classique et que j’admire tant depuis si longtemps m’a fait peur, au départ. L’insistance amicale de Diego m’a convaincu d’accepter son invitation à dialoguer avec lui en m’encourageant à ne surtout pas chercher à jouer comme Bill, ce que je n’aurais jamais su faire, mais à revisiter en sa compagnie son répertoire à ma manière, avec mes harmonies, mes voicings ».

 

Résultat : ce duo, dès la première écoute, s’affirme comme un modèle d’entente musicale, cette complicité exemplaire qui allie harmonie et mélodie en un même élan. On pense à ce qu’a écrit Vladimir Jankélévitch dans son livre “La musique et l’ineffable” : « Une mélodie sans harmonie est indifférente. Une harmonie sans mélodie est morte. Si l’harmonie est quelque chose comme le corps, la mélodie doit en être l’âme. »

Le dialogue que se livrent ici en toute générosité Diego Imbert et Alain Jean-Marie en est la démonstration éclatante. Body and Soul. Pascal Anquetil

 

CE QU’EN DISENT LES MEDIAS  (florilège)

 

Open Jazz consacré à l’album – PODCAST FRANCE MUSIQUE

 

Retransmission du concert au Tourcoing Jazz Festival – PODCAST FRANCE MUSIQUE

 

Sonorité, touché, phrasé, tout est différent de son style (de Bill Evans) chez Alain Jean-Marie qui reste totalement lui-même dans ce duo magique avec un Diego Imbert impérial.  – JAZZNICKNAMES

 

La présence d’Alain Jean-Marie est une garantie d’authenticité, de lyrisme feutré, de justesse de ton et de précision dans l’invention  –  CITIZEN JAZZ

 

Un album magnifique, lumineux et “indispensable”!  – PARIS MOVE & BLUES MAGAZINE

 

Diego Imbert et Alain Jean-Marie s’emparent d’une histoire et écrivent à partir d’elle une page intense et magnifique de cette musique – JAZZNEWS / ‘Indispensable’

 

La grande singularité de ce disque, c’est de proposer un dialogue avec une synergie constante entre la contrebasse et le piano toujours sur le fil avec des prises de risques et le goût de l’aventure. Ils s’en sortent à merveille car ils restent avant tout eux-mêmes en n’étant jamais dans l’imitation. – JAZZ MAGAZINE ‘Choc’

 

Ils jouent le répertoire de Bill Evans à leur manière, sans jamais séparer le clavier, à la fois mélodieux et aventureux, de cette basse agile et ronde, toujours prête à se faufiler dans l’exploration des thèmes choisis.

  • L’ALSACE

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